19 février 2014
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22:22
Slame va plus.
Dis-moi toi qui aimais parler,
Pourquoi as-tu choisi de quitter ces vieux bols
résonnance de ton passé ?
...
La peur de l'inconnu ?
Non vraiment slame va plus.
Au bord de l'eau je pleurs des sanglots
tu as quitté Landerneau
emportant ta billig
dans les flots
malgré tout mes souvenirs restent beaux
19/02/14
En hommage à toi qui a décidé cette semaine d'abréger ta vie de vieille femme.
Cette lune maintenant te protégera. (24/01/14)
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Alignement de mots
15 février 2014
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18:30
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Pour cette Saint Valentin
Un vrai baiser d'amour à mon beau marathonien
Espérant que demain mais aussi après demain
Les foulées de tes courses ressemblant au tocsin
Enchaînent nos destins
14 février 2014
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"Ce qui fait qu'on désire et qu'on aime,
c'est une force douce et terrible,
plus puissante que la beauté. "
Anatole France
2 mars 2014 :
Quand un homme auquel vous tenez part lentement à la dérive, mieux vaut prévoir le message d'adieu qui pointe un peu plus tard.
Il est clair que le temps n'était pas clair entre lui et moi. Pourtant pas de brouillard au dehors, au contraire un joli soleil nous accompagnait depuis la veille au matin; du moins m'accompagnait devrais-je penser maintenant.
Hélas après le beau temps viennent très souvent les nuages. Il faut alors savoir profiter d'un vent violent qui vous pousse de côté, avant de subir l'orage qui éclatera tôt ou tard.
Remettre ses voiles rapidement pour reprendre le large.
Car quand votre ventre gonflé comme une bouée parle à votre place, et que même cela fait faire des vagues prêtent à vous chavirer, mieux vaut reprendre votre liberté et continuer de vivre isolé sur l'île où vous étiez. Le ventre devenu plat.
Parce que ce qui est important en fin de compte c'est de me respecter, même si femme sans chichi, sans artifice, sans faux semblant déplait. L'instinct de survie puis-je dire. (15H25)
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Correspondance
15 novembre 2013
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08:02
J'ai besoin de toi mon fils
Tu bas si fort dans mon coeur
Et je suis impuissante
15/11/2013
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Correspondance
10 novembre 2013
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10
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/novembre
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09:04
Voir un ami blessé
séparé de sa fille
parcequ'il a divorcé
Alors qu'à côté
pas possible d'échapper
à la tiranie d'autres
qui ont servi de pères
Si j'avais su chanter
10 novembre 2013
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Alignement de mots
30 septembre 2013
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22:37
Lui
Tu mets toujours ton cœur en avant et effectivement parfois il se fait accrocher
Mais accrocs quel est votre sens
Le bonheur passant toujours à travers moi sans jamais s'arrêter
Elle
C'est alors que je l'ai rencontrée
Continuez de sourire malgré cet autre menaçant
Continuez de sourire malgré la conscience de ces souffrances
Soudainement comme illuminée je venais de comprendre
Elle m'offrait les derniers numéros de ce code si secret
Permettant l'accès à la clef de mon épanouissement
Riche de ce cadeau qu'elle me faisait
J'ai choisi de continuer de mettre mon coeur en avant
Même si effectivement parfois encore il se fera accrocher
30 Septembre 2013
Les derniers numéros de ce code si secret.
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Arrêt sur image
23 juillet 2013
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22:12
Ce soir un ami m'a dit :
"Je ne te dirai jamais Tais-toi, parce que c'est toi."
Pour ces mots, je te dis
MERCI.
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Autoportrait
18 juillet 2013
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/2013
16:42
"Après avoir soigné cette petite Elfe qui avait l'oreille cassée,
N'entendant plus les mots d'amour de son bel aimé,
Je la remets en Liberté.
J'ai choisi pour cela de la placer l'été sous ton plus grand olivier,
Celui qui fait ta fierté.
Parce que connaissant ses vertus et sa longévité,
C'est le meilleur endroit pour qu'elle se sente à jamais apaisée.
Elfe de mon coeur, entends-tu maintenant au jardin le pas de ce "pépé" ?
Alors, s'il te plait, surtout applique-toi à le protéger
Car c'est pour lui que mon coeur a tremblé."
18 juillet 2013
( Image d'Elfe tirée d'internet)
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Correspondance
15 juin 2013
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10:53
" Bonjour L.. , ton talent m'interpelle. Je souhaite que tu me contactes une prochaine fois que tu proposes une rencontre autour de l'une de tes expositions Land art ou pour une occasion de le pratiquer. Je suis moi-meme parfois créatrice d'œuvres éphémères mais pas avec des choses de la nature, plutôt pour répondre à des instants avec des objets qui entourent ma vie.
J'offre mes œuvres aux personnes que j'aime. Je n'en garde quasiment jamais une trace. Je suis du Sud de ... donc pour moi plus facile de me déplacer pour une journée complète. Je serais contente de découvrir ton art un autre week end. "
15 Juin 2013
Observer,
Voir,
Sentir...
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Correspondance
10 juin 2013
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/2013
18:13
C'est dans l'explication que l'on se rapproche de la réalité,
et expliquer n'est ni facile, ni simple.
Elle permet de dissiper les malentendus
ou de comprendre
pour apporter des changements dans une relation "vraie";
balayant ainsi les fausses idées
à cause des "non-dits*"
et des "mots déplaisants "lancés gratuitement à l'autre.
10 juin 2013
* "Le non-dit définit un ressenti qui n'est pas dit du tout (ni en verbal ni en non verbal) et qui n'est souvent même pas conscient. C'est là que se trouve la vraie cause des comportements. Par exemple une formulation verbale courtoise (façade sociale) peut s'accompagner de reproches ou de colère non verbale (quand l'autre nous exaspère). Cette colère, en réalité, est causée par un malaise personnel non dit qui n'est avoué ni à l'autre ni à soi-même."
Extrait tiré du site http://www.maieusthesie.com/chemin_decouverte_communication/comm_2.htm
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Réflexion
8 juin 2013
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22:04
Les mots de cet homme ont témoigné si désespérément de la cruauté du genre humain que je n'ai pu rester moi-même en sortant de sa conférence.
Déporté à l'âge de 14 ans, son récit a coulé dans mes veines comme une perfusion qui m'aurait tenue en "alerte" pour son impossible survie à lui.
Les horreur de la déportation, les crimes atroces et la couleur du sang qui coloriait chacun de ses mots me rappelaient mon grand père qui, pour raconter son histoire personnelle de résistant condamné aux travaux forcés, était parvenu à nous décrire l'horreur en souriant afin de ne pas nous effrayer. Assis autour de lui, nous l'écoutions silencieusement, comme lors d'une veillée où le conteur nous tient en haleine jusqu'au dénouement heureux. Après cette guerre, mon grand père, comme Monsieur Zylbermine, était encore vivant.
"La marche de la mort" décrite de manière si bouleversante par Jacques Zylbermine est gravée à jamais au plus profond de ma mémoire. L'écho de ce témoignage inoubliable faisant vivre à travers moi une résonance funeste pour l'éternité.
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Evènement