"La justice m'a demandé de rester chez moi à la demande de mes enfants qui voulaient continuer de vivre chez eux. L'interdiction de me nourrir et de dormir qui en a découlé pendant plusieurs mois ne m'a pas fait plier, par amour pour eux tout simplement. Je devais attendre la décision du juge car de moins en moins souvent les victimes et leurs enfants également victimes sont poussées à fuir. Des lois permettent maintenant au bourreau d'être extirpé du logis... Il m'a été demandé si je pouvais résister encore quelques mois aux assaux de ce monstre. Devenue cadavre avant l'heure, j'ai continué coute que coute ma vie auprès des enfants, soutenue par 'un avocat spécialiste de la maltraitance, un psychiatre pour mes enfants terrorisés et une collègue qui est devenue ma meilleure amie depuis. C'est elle et elle seule qui a eu le courage de s'opposer à cet homme qui me représentait le CHEF de famille devant le droit français... Très chère M. F., et toutes les autres qui se reconnaitront je n'en doute pas, une femme qui ne fait plus que survivre pour ses enfants n'est plus capable que de croire que la bonne solution est en ceux qui savent ce q'ils endurent. Ne parlez pas sans savoir... mon "courage" a été de résister à ce que cherchait à produire cet homme, me pousser à "mourir" ou à dégager avec les enfants loin de chez LUI."
Certaines de tes amies femmes sont exceptionnelles dans la naïveté !
Les bourreaux doivent en sourire...
...Les preuves étant gravées à jamais dans leur mémoire... seul témoin du carnage.
https://www.facebook.com/pg/La-main-tendue-contre-les-violences-conjugales-431391633565639/notes/
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Merci de me donner l'occasion de porter en public ma gratitude à toutes ses personnes qui se battent pour la reconnaissance du statut de victime trop souvent bafoué dans les affaires de maltraitance conjugale. Paix à toutes ces victimes, et peut importe leur sexe ou leur âge. Surtout qu'elles arrivent à se libérer de la souffrance et de la peur qui les rongent. Les résidus de la souffrance passée étant les ennemis à combattre ensuite dans le mental.
